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ALBI quartier de Cantepau, théâtre de la lâcheté des politiques
Les émeutes qui ont secoué le quartier de Cantepau à ALBI en cette fin de semaine, illustrent la démission de la classe politique dans son ensemble depuis des décennies, et non pas l'abandon de la puissance publique comme aime à le rappeler la gauche ou les Macronistes.
L'Etat et les collectivités territoriales ont investi depuis longtemps dans ce quartier avec un terrain synthétique couvert, une base de loisirs, une école primaire moderne, une maison de quartier unique dans la ville, une maison de services publics, et 45 Millions d'euros d'investissements supplémentaires ont été voté dans le cadre de la rénovation urbaine pour les années à venir.
Si certains quartiers se soulèvent c'est donc que la cause n'est pas matérielle, mais c'est qu'ils relèvent d'un autre ordre que républicain travaillés par l'islamisme et le trafic de drogues, et donc il faut y rétablir avant tout l'autorité de la force publique.
Quand la Maire d'ALBI dit que « l'ordre public est une prérogative exclusive de l'Etat », je lui rappelle que le Maire est responsable de la tranquillité publique sur son territoire et en coordonne sa mise en œuvre selon le code général des collectivités territoriales.
Le RN est un aiguillon de la politique sécuritaire, en 2016 quand nous demandions l'armement de la Police Municipale elle nous répondait « qu'Albi n'était pas Béziers », de même lorsque nous demandons aujourd'hui de passer à la vidéo surveillance avec un policier derrière les caméras, il n'en n'est pas question.
Le politiquement correct règne en Macronie et donc à ALBI, lorsque nous intervenons en conseil municipal sur l'insécurité le terme « voyous » déclenche une réprobation générale, la majorité municipale parlant de « stigmatisation » et l'opposition de gauche de « sentiment d'insécurité » et même de « racisme » !!
La solution réside dans le changement d'attitude des politiques vis-à-vis de la minorité de délinquants qui gangrène nos quartiers, le prochain cycle électoral permettra aux français de changer les hommes pour changer de politique sécuritaire.
INSECURITE ALBI: intervention lors du Conseil du 19/11/20

COVID: Intervention en faveur de mesures pour les commerçants

L'élection est passée, les dossiers sortent.
D'abord la société Interparking gestionnaire du parking des Cordeliers qui souhaite résilier le contrat qui la lie à l'agglomération du fait d'un déficit récurrent de 700 000€ depuis son ouverture. Malgré des offres tarifaires, ce parking ne se remplit pas et coûte très cher aux Albigeois puisque nous payons annuellement 600 000€ correspondant à la différence entre l'emprunt souscrit pour la construction de ce parking et la redevance de 360 000€ que verse Interparking à la C2A.
Ensuite la passerelle au-dessus du Tarn est à l'arrêt du fait que l'entreprise qui doit poser les tronçons métalliques demande une rallonge budgétaire pour faire face à des travaux supplémentaires d'ancrage pour que la passerelle « ne tombe pas dans le Tarn ». Nul doute que le budget qui a déjà doublé depuis le début devrait encore augmenter.
Enfin on apprend à l'occasion des attentats de l'Hyper Cacher et de Charlie Hebdo qu'un certain Mohamed Belhoucine actuellement en fuite et qui pourrait être un des donneurs d'ordre, a été étudiant à l'école des Mines d'ALBI. N'ayant pas obtenu son diplôme, il se serait radicalisé à ALBI.
Pendant la campagne municipale j'avais abordé ces points mais en Macronie Albigeoise on ne parle pas des sujets qui fâchent.